La roulette Russe et mon buisson ardent!
Donald
Comme la plupart du temps, j’étais ivre à en perdre la raison. J’ai joué à la roulette russe avec un revolver à six coups. Click, je suis en vie. Click, toujours vivant. Ce n’était pas qu’un jeu, je voulais vraiment mourir. Je nageais en pleine dépression nerveuse, trois tentatives d’assassinat sur ma vie, un retour d’un séjour en psychiatrie, mon appartement sous surveillance policière 24 heures sur 24, mon téléphone sur écoute par la police. Click, le pistolet s’enraye et au même moment, j’entends une voix. Une voix qui ne venait pas du ciel, mais du plus profond de mon cœur. J’entends : “Christ en nous, l’espérance de la gloire.”
J’ai lu ce verset des centaines de fois, entendu prêcher sur le sujet une dizaine de fois. Chaque fois, on me présentait ça comme un vulgaire concept théologique. Ce que j’ai entendu ce soir-là était plus qu’un concept, c’était la réalité d’une présence en moi qui dépasse l’entendement. Après cette expérience, je planais, il me semblait vivre dans une autre dimension, une lumière brillait dans mes yeux. Tout le monde que j’ai rencontré pendant cette période l’a remarqué. Depuis ce jour, par tous les moyens, je tente d’exprimer mon expérience.
Comme l’a dit le philosophe Friedrich Nietzsche, “Celui qui a un pourquoi peut supporter presque n’importe quel comment.” Et comme le dit la Bible dans le livre de Jérémie 29:11, “Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance.” Ces deux citations illustrent parfaitement le voyage que j'ai entrepris, un voyage du désespoir à l’espérance, de l’obscurité à la lumière. Mon histoire est un témoignage puissant de la résilience de l’esprit humain et de la capacité de trouver l’espérance même dans les moments les plus sombres. Depuis ce jour je persévere à partager mon expérience, car elle peut être une source d’inspiration et d’espérance pour d’autres.
Paul dit; Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu◄ 1 Corinthiens 6:19 ►
Permettez-moi de poser la question, comment pouvez-vous faire du Christ votre habitation, l'endroit dans lequel vous demeurez? Comment est ce possible? Cela ne peut être interprété que spirituellement, car c'est absolument impossible, et difficilement concevable si nous pensons à ces choses de façon naturelle. Comment le Christ peut-Il être mon habitation? Comme puis-je vivre en Christ? ou comme le disait Nicodème: « Comment un homme peut-il entrer dans le ventre de sa mère et naître à nouveau? »
Comment faisons-nous du Christ notre habitation? Comment peut-Il devenir pour nous un endroit où habiter? Hé bien, pour ceux de l'Ancien Testament, c'était un mystère. Ils pouvaient se rendre au Temple, et ils savaient que le prêtre pouvait entrer dans le Saint des Saints. C'était ce qui ressemblait le plus au fait d'habiter et de demeurer en Dieu ou au moins dans la présence de Dieu. Mais ce n'était réservé qu'à quelques prêtres, ce n'était pas possible pour tous.
Nous en arrivons donc aux merveilleuses paroles de Jésus dans Jean 15, et nous commençons à comprendre. Cela dépasse les explications humaines, cela reste un mystère, une porte fermée, jusqu'à ce que le Christ Lui-même vienne à nous, nous révèle le mystère et déverrouille la porte. « Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. » (Jean 15:4 ) Il n'y a pas besoin d'être brillant pour faire le lien entre le Psaume 91 et Jean 15. Le langage est le même, Lisez Jean 15, puis lisez encore le psaume 91. Tous ces mots - habiter, demeurer, vivre - signifient tous la même chose. « Celui qui demeure dans le lieu secret du Très-Haut habitera à l'ombre du Tout-Puissant. » va de pair avec « Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. »
Je conclu avec une citation de Maurice Zundel: «Tu n’es pas seul en toi, un dialogue est ta vie intime, une Voix t’appelle, une Présence te réclame. Quelqu’Un se confie à toi, qui vaut mieux que toi. Ton cœur peut être un mur qui arrête la Lumière. Qu’il soit plutôt le vitrail qui la laisse resplendir».
Une magnifique lettre d'amour de Dieu envers une prostitué
Donald Finnie
Dans les bas font de Baltimore elle était assise en boule sur le trottoir, les larmes coulant sur ses joues pendant que Teresa attendait son prochain client. Avec quelques pièces, pour achèter la dose suivante.Elle était si maigre que j'avais l'impression de voir un mort-vivant. Comme le dit Emmanuel Lévinas, il donne un excellent siège « face à face » où soi est en présence des autres. Une relation apaisée le langage formé entre ces deux êtres séparés signifie interne un profond désir de justice. La misère des autres exige avant tout la justice appelle l'ego, le juge et le produit dans sa vérité. Cet appel crée Je réponds, avec laquelle sa responsabilité morale est liée, comme une impossibilité,laisser l'autre personne sans réponse car il est impossible de l'approcher avec les mains vides. L'auto-charité, le face-à-face recherché, se transforme aussi dans un langage qui fait des propositions en nommant les choses, qui les offre ainsi aux autres.
'Quesque tu me veux' Hum! rien .Et bien je me demandais juste pourquoi tu pleures. 'fou moi la paîx' Alors s'Istale un long silence.... Me permets-tu de te raconter une petite histoire. Avec audace je n'attends pas sa réponse. C'est l'histoire d'une magnifique lettre d'amour de Dieu envers Israël
Israël avait abandonné Dieu pour se tourner vers les idoles. En ce temps-là ceci était considéré comme un adultère spirituel. Alors Dieu lui rappel un lointain souvenir. 'Quand tu étais jeune Iarael tu baignais dans ton sang (dans le premier testament Le sang est um symbole d'impureté) Je suis passé pres de toi Je t'ai juré fidélité Je t'ai pris dans mes mains, J'ai lavé tes impuretés puis j'ai couvert ta nudité. Le temps passa et tu deviens une magnifique femme parée de longs cheveux magnifiques.Jee t'est alors couvert d'or et de diamant et j'ai dressé devant toi une table sur laquelle il y avait des mets succulents.
Puis je dis a la jeune femme que Dieu n'a pas attendu que l'enfant devienne une superbe feme pour lui juré fidelité et lui démontrés on amour.non c est quand l'enfant baignait dans ses impuretées que Fieu lui a juré fidelité...'tu sais peu importe le regard que tu porte sur toi meme.Peu importe le regard que les autre porte sur toi.Souviens toi que tu es une princesse,que tu es née pour la gloire.Dieu n'attend pas que tu change pour t'aimé il t'aime maintenant inconditionelement.
Puis je me suis levé et fait quelque pas avant de me retourné.Son visage était radieux,ses yeux brillait dans le noir.'prend soin de toi mon petit ange' elle m'a souri avec un tres beau sourir et j'ai poursuivi ma route.
Passer du temps avec la personne qu'on aime est un cadeau très précieux. Il faut en profiter un maximum avant la fin du temps qui nous est imparti. L'ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère.Nous sommes tous freres et soeurs.Paul dit: un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous.◄ Éphésiens 4:6 ►Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais il donne autant de lumière(Abbé Pierre). Le sourire est la perfection du rire. Comme la défiance le sourire appelle le sourire : il rassure l'autre sur soi et toutes choses autour.
Donald
Je ne me souviens pas de la première fois où l’on m’a dit que j’étais un pécheur méchant et voué à l’enfer qui avait besoin de se repentir à l’instant même, mais je me souviens certainement que pendant toute ma vie, je n’ai pas pu exprimer adéquatement avec des mots à quel point cette idée me répugnait. Comment un dieu pouvait-il créer l’humanité, leur ai-je demandé, sachant très bien que presque toute sa création qu’il était censé tant aimer serait torturée à jamais ? Cependant, je n’ai jamais obtenu de réponse satisfaisante - je n’ai eu que les réponses évangéliques passe-partout typiques de « Dieu ne peut pas permettre le péché en sa présence », « les actions de Dieu sont toujours justes et ne peuvent pas être comprises par les humains », et ainsi de suite, et ainsi de suite.
Mais, en même temps, je n’arrivais pas à me débarrasser d’une peur indéniable qui habitait mon cœur. Cette crainte était très simple : et s’ils avaient raison ? Et si j’étais voué à l’enfer, et si j’allais brûler en enfer pour toute l’éternité ? J’avais lu leurs déclarations sérieusement, disant que tout ce que l’on doit faire est d’accepter Jésus comme son seigneur et son sauveur, et hop, la vie éternelle. J’ai donc essayé, de très nombreuses fois. Je savais qu’ils m’avaient dit à quel point la sensation d’être sauvé était « écrasante », et j’ai continué à essayer encore et encore d’accepter Jésus comme mon seigneur et sauveur et j’ai continué à attendre que ce sentiment m’envahisse. Mais il ne l’a jamais fait. Je ne pouvais arriver qu’à une seule conclusion : si Dieu exigeait vraiment cela pour que j’aille au ciel, alors il ne devait pas vouloir que j’aille au ciel. Et c’est sur cette pensée que je suis resté longtemps - l’idée que j’étais tout simplement indésirable par Dieu. Rétrospectivement, je ne pense pas que le désespoir total de cette idée ait jamais vraiment pénétré, parce que j’aurais sûrement été presque suicidaire si j’avais vraiment cru que Dieu m’avait créé uniquement pour m’abandonner à la torture éternelle à ma mort.
Eh bien, laissez-moi vous dire que s’il y a une chose qui me donne envie de ne pas suivre quelqu’un, c’est qu’on me dise effectivement que je suis un idiot paresseux qui ne sait rien. Mais, le pied était dans la porte - cette fois, je n’étais pas sur le point de lire simplement la Bible en me basant sur les paroles d’un humain. J’ai donc continué à lire, et je n’arrivais tout simplement pas à croire ce que je lisais sur certains comptes. Je crois que c’est 1 Jean 2 :2 qui a été le premier indice dans mon esprit que peut-être le message dans le christianisme était encore plus une diversion radicale de la pensée orthodoxe moderne que je ne l’avais imaginé auparavant. Donc, une fois de plus, j’en ai parlé au chrétien évangélique avec qui je me suis souvent heurté dans ce forum que je fréquentais.
Quand j’ai apporté cela au chrétien évangélique, eh bien, vous pouvez imaginer le résultat. Mais, à ce moment-là, je ne m’en souciais pas vraiment. Et c’est à peu près à ce moment-là que j’ai trouvé mon chemin vers Tentmaker(un tres bon site anglophone), et plus précisément, vers la page intitulée « The Hell Test ». Beaucoup de questions étaient celles que j’avais déjà posées, mais je me souviens qu’il y avait deux versets sur lesquels je ne m’étais pas concentré auparavant que j’ai trouvés, qui étaient Romains 5 :18-19 et Luc 15 :1-7. Je me souviens que j’ai commencé à pleurer un peu quand je les ai lus, parce que j’avais l’impression de lire sur moi-même : que j’étais la brebis perdue que Jésus avait trouvée. Pourtant, malgré la similitude de ce sentiment avec le sentiment que les chrétiens évangéliques m’ont dit que je devrais ressentir lorsque j’ai accepté Jésus comme mon seigneur et sauveur, je pouvais sentir qu’il y avait quelque chose de fondamentalement différent. Et il ne m’a pas fallu très longtemps pour reconnaître ce que c’était. Si j’avais été sauvé comme le voulaient ces chrétiens fondamentalistes, j’aurais ressenti une culpabilité et une inquiétude écrasantes pour tous ceux qui n’étaient pas sauvés autour de moi. À ce moment-là, cependant, tout ce que je pouvais ressentir, c’était un sentiment de joie écrasant – la joie que Dieu aime non seulement moi, mais aussi ma famille, mes amis et le monde entier, et que je ne devais pas craindre de ne jamais les revoir après ma mort, mais plutôt me réjouir que pas un seul être humain ne soit privé de la grâce salvatrice de l’amour de Dieu pour sa création.
En effet, c’était très probablement l’ironie des ironies : on m’avait dit pendant une grande partie de ma vie que j’allais en enfer éternel et que je devais accepter Jésus comme mon seigneur et sauveur tout de suite, sinon je brûlerais pour toute l’éternité, mais cette idée était précisément ce qui m’empêchait de le faire. Et maintenant que je suis devenue absolument convaincue que je n’ai pas besoin de promettre ma vie à Dieu pour échapper à l’enfer éternel, tout d’un coup je veux le faire, parce que je crois enfin que je peux vraiment aimer Dieu. Je me souviens qu’après avoir lu Luc 15 :1-7, tout ce que je pouvais faire était de fermer les yeux et de remercier Dieu encore et encore. Je n’étais même pas sûr de ce pour quoi je le remerciais, si c’était pour cette connaissance que je venais d’acquérir, si c’était pour le don de la vie, ou si c’était pour quelque chose de complètement différent - mais je savais que j’étais très reconnaissante. Et je savais que je voulais lui consacrer ma vie, parce que pour la première fois de ma vie, j’étais absolument certain qu’il était un Dieu qui ne permettrait pas à sa création de souffrir éternellement, un Dieu qui méritait vraiment d’être aimé.
1 Corinthiens 15:24-28
Louis Segond
24 Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance.
25 Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds.
26 Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort.
27 Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté.
28 Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.
Donald
Dans les vastes plaines de la vie, il y a une figure qui se distingue parmi toutes les autres. C’est l’homme qui possède à la fois un âme de guerrier et un cœur de berger.
Le guerrier en lui est fort et résolu. Il est prêt à affronter tous les défis qui se présentent à lui, sans peur ni hésitation. Il est armé de courage, de détermination et de volonté, prêt à combattre pour ce en quoi il croit. Il est un protecteur, un défenseur de la justice et de l’équité.
Cependant, au plus profond de son âme de guerrier, bat un cœur de berger. Un cœur doux et aimant, qui prend soin de ceux qui sont sous sa protection. Il est un guide, menant son troupeau à travers les périls de la vie avec sagesse et compassion. Il est un gardien, veillant sur ceux qui sont vulnérables et en besoin.
L’âme de guerrier et le cœur de berger ne sont pas en conflit, mais plutôt en harmonie. Le guerrier donne au berger la force de protéger, tandis que le berger donne au guerrier la capacité d’aimer et de comprendre. Ensemble, ils forment une combinaison puissante, capable de surmonter tous les obstacles.
C’est l’histoire de cet homme, un guerrier avec un cœur de berger, qui continue d’inspirer et de guider ceux qui le suivent. Il est un symbole de courage, de compassion et d’espoir, un rappel que nous avons tous en nous la capacité d’être à la fois forts et aimants. Et c’est cette combinaison qui fait de lui un véritable hé